Les ressources de ces affluant de l’amazone sont très riches et les habitants de Bélen vivent beaucoup de la pêche. De retour au port nous visitons le quartier pauvre de Bélen, il est vrai que le quartier est sale et noirci par les exploitants de charbons et que les odeurs sont un peu nauséabondes, cela ne respire pas le luxe certes, mais les autochtones ne semble pas malheureux et affiche souvent un large sourire !
En période cru les eaux montent et le premier étage des maisons sur pilotis sont inondées les habitant vivent alors au premier et se déplacent en bateau dans le quartier. Certaines maisons sont aussi flottante…Tout cela explique pourquoi on parle de Venise Lorétaine !
Nous flânons ensuite dans le marché, pour assister à un panaché de couleurs, d’odeurs et de regard un peu méfiant !
Ce quartier est l’un des plus creignos’ d’Iquitos ils ne doivent pas avoir l’habitude de voir beaucoup de touristes s’aventurer dans ces ruelles ! Mais avec l’aide de Zé Carlos cela nous semble plus facile de braver les interdits et les recommandations. Les étales sont biens garnis, mais les mouches sont omniprésentes et les vendeurs s’improvisent souvent chasseurs de mouches ! A notre retour à la maison, Nancy mère nous a concocté une petite bouffe maison en guise de bienvenue. C’est une sorte de Hachi Parmentier au poulet. On se régale et posons pour la photo souvenir.
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